Mélamine Blues
janvier 2013
« Petit conte moral en forme de face délirante, ce livre est réjouissant. »Monique Roy, Châtelaine« (…) un talent de raconteur qui ne dément pas, des personnages bien sentis et des réflexions qui font sourire malgré le côté désabusé du personnage principal face à la société en général. »Pierre Blais, Canal Vox - Lézarts« Grâce à son décor urbain et sa faune déjantée, Mélamine Blues plaira particulièrement aux jeunes adultes. »Le Libraire« Un roman pour le moins décapant et jouissif et une lecture qui saura vous capter. »Michel Plourde, SRC – Le Réveil édition N.-B.« François Gravel nous prouve, une fois de plus, que l'art romanesque, ce vol répétitifs d'histoires enfouies dans l'imaginaire collectif, est le scalpel qui dissèque notre société léthargique, étouffante, étrangère à l'aventure personnelle. Le romancier nous fait même un tout petit peu deviner qu'il sait que l'écriture, cette appropriation unique d'un souffle inimitable, a un seul vrai pouvoir: celui de nous faire respirer.»Michel Lapierre, ICI« Un vrai livre, lui. Drôle et joliment raconté, aimable et fort divertissant. (…) Ce livre est savoureux. Avec plein d’observations à faire grincer les dents. »Didier Fessou, Le Soleil« L’antidote au blues de la rentrée. »Valérie Lessard, Le Droit« Roman teinté de noir, Mélamine Blues fait rire… jaune, parfois. (…) la plume de François Gravel se fait, cette fois, savoureusement corrosive et férocement mordante. »Valérie Lessard, Le Droit« Comme c’est souvent le cas chez ce romancier, le charme opère dès l’incipit où le lecteur est interpellé de manière fort originale par le narrateur (…). Humour grinçant, peut-être, mais combien jouissif. »Pierre Cayouette, L’Actualité« Les lignes de Mélamine Blues sont agiles, les associations surprenantes, acrobatiques, défiant les conventions, cassant nos schémas de pensée, riant à la barbe des vieux clichés, avec des images implacables d’illogisme et de poésie, au pied de la lettre, un peu à la Boris Vian. (…) Toutes ces qualités plus une écriture nerveuse font que ce roman est attachant et hors de l’ordinaire. »Florence Meney, SRC – Site culturel« Assez en verve, François Gravel signe un roman léger, à la fin un peu abrupte, mais comportant de jouissifs éléments de critique sociale. »Marie Labrecque , Entre les lignes« Dès la première page, on se fait prendre au piège et on se laisse ridiculiser avec joie. Tant qu'à se faire insulter, aussi bien que ce soit par la plume de François Gravel ! Une plume mordante, à l'esprit aussi tordue que philosophie. (…) François Gravel nous présente des personnages plus grands que nature, à qui on pardonnerait tout, même le fait de se faire voler. Les tableaux qui se suivent sont tous plus savoureux les uns que les autres. Et les jongleries stylistiques de l'auteur s'avèrent aussi charmantes qu'humoristiques. »Tribu (Sherbrooke)« En lisant Mélamine Blues, on peut se dire que se faire voler la culture n'a jamais eu si bon goût. »Tribu (Sherbrooke)« Coup de cœur littéraire. »Tribu (Sherbrooke)« On aime François Gravel pour son style fait d'humour subtil, de clins d'œil amusants qui font de lui un fin observateur de nos petits et grands défauts. »Louise Chevrier, La Terre de chez nous