C’est à travers des séminaires de philosophie organisés au Centre des Arts islamiques où elle-même travaillait en tant que journaliste freelance que Solouki a fait preuve de ses talents littéraires. L’interdiction de publication de deux de ses ouvrages fut à l’origine de son exil en France. L’apprentissage de la langue française lui a permis de libérer ses mots de la sainte prison de la République Islamique.