De l’hôpital à la prison, puis à l’enseignement, au hasard de la vie, Hélène Faivre, a soutenu à l’Université de Bourgogne, en 1998, une thèse de philosophie : « Odorat et humanité : approche de l’intégration olfactive ». Deux écrits ont suivi, puis un long intermède familial.