Passionnée par des thématiques hétéroclites comme le kitsch, l’espace, les sectes ou encore l’architecture brutaliste, Marie Sisteron a trouvé son domaine de prédilection dans l’étude des affects. Détentrice de deux masters en histoire de l’art et en socio-anthropologie de l’art, elle s'est d'abord tournée vers l’enseignement dans la région grenobloise, avant de s’exiler dans les Vosges et de se consacrer à la recherche et à l’écriture.