Très jeune, Frédéric Vioux projetait de devenir cycliste sur les anneaux de Saturne, avant d’apprendre que ces boucles n’étaient pas les pistes d’athlétisme extraordinaires qu’il imaginait. Il pratique aujourd’hui ce que Péguy appelait le plus beau métier du monde : professeur de sciences physiques. Toutefois, son activité principale demeure rêveur compulsif insatiable.