Benabdallah Dridj écrit des images, sculpte des tournures, délie les signes qu’il relie aux sens, à l’émotion, à l’indicible ; autant de voluptés qui font rimer le lien avec le doute, le renoncement avec les échappées. Il a déjà édité chez L’Harmattan deux ouvrages, Oujda et Une femme..s, ainsi que deux recueils de poésie, Le Soupir des mots et Tant de malentendus.